Jean-François est un artisan pour le moins atypique ! Il a choisi le centre-ville comme terrain de jeu favori dans la troisième ville la plus embouteillée de France.

« Est-il fou !? » me demanderez-vous.

Même pas ! et le plus dingue c’est qu’il ne connait ni les galères d’embouteillages, ni celles de trouver une place pour stationner.

« Est-ce qu’il sait voler !? »

Toujours pas ! Jean-François est juste un plombier qui a choisi le vélo comme outil de travail, au même titre que ses tournevis et ses pinces. Ce spécialiste du dépannage en centre-ville nous livre son retour d’expérience. 

 

Quelle est votre histoire Jean-François ? 

J’ai grandi en région parisienne mais j’ai commencé mon parcours professionnel dans l’évènementiel à Bruxelles, où je suis resté cinq ans. J’ai fini par créer une entreprise durant les deux dernières années en association avec un Belge.
J’ai ensuite décidé de rentrer en France pour continuer à travailler dans ce domaine. J’étais le premier salarié d’une jeune entreprise et j’y suis resté quatre ans.
J’avais donc acquis l’expérience de la création d’entreprise.
Entre temps, j’ai rencontré ma femme, Bordelaise d’adoption. J’ai commencé par faire les allers-retours et j’ai fini par m’y installer en 2008.
J’ai toujours aimé les travaux et le bricolage ! j’aime travailler de mes mains ! à 15 ans j’ai fabriqué seul, mes enceintes Hi-fi que j’ai toujours. Dans l’évènementiel ce que je préférais c’était les jours d’évènements, quand j’étais sur le terrain.

J’en ai eu marre de la communication, j’ai commencé à m’intéresser à la plomberie, j’ai suivi une formation, j’ai travaillé pendant deux ans et mon esprit entrepreneurial m’a fait créer ma boite.

 

Pourquoi avoir choisi la plomberie et surtout, pourquoi à vélo ? 

La plomberie pour commencer, parce qu’on a toujours besoin d’un plombier. C’est un métier qui demande du savoir-faire et de l’outillage et tout le monde ne peut pas s’improviser comme tel.
De plus, la réputation du plombier n’est pas la meilleure possible. Je voulais relever le challenge de casser les stéréotypes.

Ensuite le vélo, parce que Bordeaux c’est LA ville du vélo par excellence. Il est de plus en plus difficile d’accéder au centre-ville en camionnette. Plus personnes ne veut y aller.
J’habite le centre, j’aime la vieille ville, les vieilles rues, les vieilles maisons. Je ne veux pas en sortir. Le vélo me permet d’être rapide intra-boulevard et d’éviter les déplacements inutiles.

Aujourd’hui les artisans ont beaucoup d’a priori sur le fait que je puisse exercer à vélo. Mais eux, se déplacent de partout. Ils peuvent parcourir des centaines de kilomètres pour aller sur deux chantiers différents. Moi, je me recentre, c’est un choix de vie. 

Qu’est ce qui vous à séduit chez AlloMarcel ? 

AlloMarcel, utilise un média global, le web, pour faire du local. C’est ce qui me plait. Ça rapproche, ça rassure et ça facilite. 

 

Vous l’aurez compris: un dépannage en centre-ville de Bordeaux rapidement ? C’est par ici que ça se passe !